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Louis-Joseph Papineau |  Sujet: Sourhamda - La ville sorcière francophone  Sam 25 Mai - 13:59 | |
| Ville sorcière Sourhamda
Entre francophones, on se soutient.
La ville de Sourhamda date des premiers colons qui se sont installés en Nouvelle-France. Sa particularité réside dans son inexistence des cartes et de la mémoire collective des moldus. En effet, aucun non-majs n'a mis les pieds à l'intérieur. Si l'un d'eux s'approche de la ville, il se sentira immédiatement traqué et il fuira en courant. Pour entrer, il faut approcher sa baguette d'une pierre particulière que les collons croyaient avoir été griffée par le Diable et soudain, on verra s'ouvrir une porte menant à l'intérieur de ce petit patelin. Les 1000 habitants sont tous des sorciers francophones et ils ont une très mauvaise opinion des anglophones qu'ils considèrent comme des voleurs de terres. C'est ici que les activités commerciales magiques entre francophones et amérindiens se font le plus puisqu'ils peuvent le faire sans attirer l'attention des moldus et cela coûte moins cher pour eux puisque les anglais on tendance à se procurer ce dont ils ont besoin directement de l’Angleterre et leur rare boutiques proposent des produits coûtant un bras.
Sourhamda a été fondée par une famille de sorciers français qui ont liés une alliance avec les sorciers algonquins établis près de là avec qui ils faisaient du troc. Ces sorciers étaient des animagus très impressionnants. Il en reste malheureusement très peu puisque leur peuple s'est fait décimé par les iroquois, mais les descendants habitent à Sourhamda et l'un d'eux est même enseignant à l'école de magie du Bas-Canada.
Avant la fondation de l'école en 1830, l'éducation magique se faisait tous les samedis au centre de la ville où l'on faisait un grand feux. Les personnes âgées enseignaient aux plus jeunes ce qu'ils savaient de plus précieux. Beaucoup de sorciers de l'extérieur venaient ces soirs-là pour apprendre ce que leurs parents ne pouvaient pas leur transmettre à la maison. Ces enseignements étaient gratuits. L'école du Bas-Canada est situé non loin de là, mais il n'est pas recommandé de s'y rendre à pied ou en cheval par la faute de la forêt très dangereuse l'entourant.
Cette ville se situe non loin de centre-du-québec.
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