[2/2] Neutres

HISTOIRE L’amérindien est le dernier survivant d'un des derniers peuples autochtones libres.  Les Lenni-Lenapes  étaient composés exclusivement de sorciers. Ces derniers ont été décimés par les iroquois il y a 35 ans. Il était tout petit lorsqu’il perdit sa famille et ses amis, mais la directrice le prit sous son aile en le trouvant sur une route et elle lui apprit tout ce qu’elle savait sur la magie. Elle a toujours communiqué avec lui dans sa langue maternelle afin de s’assurer qu’il ne perde pas ses valeurs natives et s’assura de tout lui transmettre ce qu’elle savait sur la culture autochtone. C’est vers l’âge adulte qu’il demanda à apprendre le français, ce qu’elle lui enseigna en échange de l’avoir comme professeur dans son école de magie. Elle voulait démontrer que l’on soit blanc ou Amérindien, on était bienvenue chez elle. Depuis, il est heureux de transmettre son savoir à de jeunes disciples curieux de tout apprendre. Dans la guerre affrontant les Anglais et les francophones, il est neutre. N’aimant pas la guerre, il refuse de choisir un camp, mais sa mère adoptive l’incite constamment à aider les patriotes.

HISTOIRE Omoog est un nain. Cela signifie qu’il est une créature de la terre. Les siennes habitent sous terre et, lorsqu’ils ne minent pas, ils font la fête. C’était plaisant, mais il voulait choisir horaire et être son propre patron. Plus personne ne lui dirait quand il devait prendre du bon temps et quand il allait travailler. Alors, il a gagné Montréal et s’est installé dans une petite cabane à outils derrière une poche à patate pour passer la nuit.  Il passe le plus clair de son temps à faire la fête. À un ce point qu’il en oublie parfois de travailler. Ainsi, c’est comme cela qu’il apprit à voler afin de ne pas mourir de faim. Sans le savoir, il entra un jour dans la maison de Louis-Joseph Papineau et ce dernier le prix la main dans le sac à patate. Il lui proposa un marché qu’il ne pouvait refuser. Il ne porterait pas plainte contre lui s’il allait chez les Anglais pour saboter les munitions. Il lui promit qu’il n’aurait pas à se mêler de la bataille. Ainsi, il le fit. De toute façon, les Canadiens français étaient bien plus sympathiques que ces snobs d’Anglais coincés avec un balai dans les fesses.