Contexte Historique

Sujet: Contexte Historique Dim 22 Oct - 0:52

Rébellion contre l'Angleterre

Canada - Bas-Canada (Québec) 

1837

Chers Patriotes,

nos 92 résolutions ont été refusées par le ministre britannique, John Russell. Sa réponse à notre demande a été ses 10 résolutions qui sont un pied de nez à nos demandes plus que légitimes! Son but? Nous assimilé à la culture anglaise! Ils veulent nous faire perdre notre langue, notre religion, notre patrimoine! Nous sommes les descendants des tous premiers colons français catholiques venus s'installés sur ces terres. Les anglais nous ont tous volés suite à la défaite que nous avons vécus avec la proclamation royale de 1763 qui a fait de nous des sujets de la couronne britannique à la fin de la guerre entre les anglais et les français. Nous sommes pourtant plus nombreux que les anglophones qui se croient si supérieur! Ils nous font travailler pour remplir les poches de l'empire! Le blé, le bois et les fourrures gagnent l'Angleterre et nous? Nous n'avons aucun respect de leur part! Nous faisons le sale travail à leur place! Les moldus sont cultivateurs, draveurs, bûcherons et très peu ont la chance de faire partie de l'élite! Pour cela, il faut une bonne éducation et elle n'est pas donnée à tout le monde. Il faut rentrer, bien souvent, dans la religion afin d'avoir accès à un vie décente. D'autres ont la chance d'être médecins - les sorciers sont soit médicomages ou apothicaires- avocats ou notaires. Très peu de non-maj font de la politique et c'est la même chose du côté des sorciers. Ceux qui en font partis sont sous-payés en comparaison aux anglophones. L'Assemblée législative du Bas-Canada (majoritairement patriote) a du pouvoir, mais pas assez face au Conseil législatif (majoritairement royalistes) qui peut refuser la moindre lois mise en place par l'assemblée.

Je dis que s'en est assez! Nous méritons notre liberté! Nous avons droit à notre émancipation! Nous sommes un peuple à part entière avec notre histoire, notre langue, nos croyances! Nous ne sommes pas britanniques, nous ne sommes pas français, nous sommes canadiens! Ensemble, nous pouvons faire une différence! Nous devons nous battre contre l'envahisseur! La reine Victoria n'est pas la notre! Nous méritons notre propre pays, nos propres chefs et nos propres lois! Soulevez-vous avec-moi moldus et sorciers! Ensemble, nous pourrons nous unir afin de devenir indépendant! Vive la liberté!

Petites Informations:

Politique moldu: Le bas et le haut Canada appartient à la reine d’Angleterre. Elle nomme un Gouverneur général pour la représenter sur le territoire et un Conseil législatif avec quinze membres nommés était nommé pour l'assisté. Le conseil exécutif servait de cabinet. La Chambre d'assemblée du Bas-Canada est élue par la population et la représente, mais elle a peu de poids face au conseil exécutif.

Politique sorcière: Radolphus Lestrange est le ministre de la magie de 1835 - 1841 en Grande-Bretagne. Il a nommé son représentant qui n'est autre que monsieur Phileas Beurk, un sang-pur lui obéissant au doigts et à l’œil. Pour l'aider dans sa tâche, il avait une chambre d'assemblée composée de 12 candidats choisis par ses soins. Les sorciers n'ont pas le droit de vote sur les membres de l'assemblée à l'inverse des moldus. Un membre de l'assemblé sert de juge lorsque des crimes sont commis et décide si l'on transfère le sorcier à Azkaban où si on l'exécute sur le champ selon la gravité du cas. L'assemblée peut proposer des lois, mais elles doivent être approuvées par Phileas Beurk.

Droit de vote moldu: Les femmes pouvaient votés grâce à la création du bas-canada si elles étaient propriétaires, mais c'était une minorité qui le faisait par peur des représailles et de la religion.

Droit de vote sorcier: Les sorciers, hommes comme femmes, n'ont aucun droit de votes et n'ont aucun pouvoir lors d'établissement des lois dans le monde sorcier. Seuls les membres de l'assemblées (composées d'hommes et de femmes) ont le droit de participer aux votes du ministre sorcier de Grande-Bretagne. Ces membres sont anglais de naissances et ils sont composés d'aucun Canadiens-Français.

Sorciers importants de l'époque: Louis-Joseph Papineau, Charles Hindelang, Phileas Beurk.

Réalité du peuple canadien-français: À cette époque, ce peuple francophone ne pouvait compter que sur la religion. C'était elle qui dirigeait les hôpitaux et les écoles. L'église avait une grande influence sur ses concitoyens, les encourageant énormément à avoir de grosses familles. Les moldus avaient ainsi une relation de dépendance envers eux et croyaient généralement tout ce qu'elle disait. Ainsi, ils croyaient au Diable et qu'ils se changeraient en loup-garou s'ils ne faisaient pas leurs communion durant 7 ans. Du côté des sorciers, leur société n'est pas aussi évoluée qu'en Angleterre. Ils ont très peu de boutiques et l'école de magie a été fondée il y a très peu de temps si on le compare avec la date de création de la Nouvelle-France. Les commerces sorciers les plus intéressants se trouvent dans une petite ville sorcière cachée aux yeux des moldus. Qu'ils soient sorciers ou moldus, les francophones sont en général bien plus pauvres que les anglophones qui ont les entreprises et les marchés. Ainsi, les Canadien-Français ont généralement très peu d'éducation et travail pour des salaires dérisoires.

Connaissance du monde magique: Au Canada, il n'y a pas de lois sur le secret magique. Les moldus connaissent plus ou moins la vérité. Généralement, les moldus des villes croient moins aux sorcières, mais ceux des campagnes sont généralement plus au courant. De nombreuses légendes sont racontées de génération en génération, mélangeant magie et religion, ce qu'encourage l'église qui se met en position héroïque dans ces histoires, transformant les sorciers comme des êtres diaboliques. Évidemment, leurs connaissances s'arrêtes aux légendes et ils ignorent ce que sont vraiment les sorciers et les autres créatures fantastiques. Attention, parce que les moldus ont tous une mauvaise opinion de la magie qu'ils considèrent mauvaise et satanique. Ainsi, il leur était préférable d'agir comme des moldus normaux en public. Ils croient au Diable, mais il semblerait que ce "Démon" soit en fait un sorcier maléfique rôdant chez les moldus.

Où se passe l'action?: À Montréal, dans la petite ville sorcière de Sourhamda et à l'école de magie du Bas-Canada.

Les lois sorcières? En dehors de la loi sur le secret magique, le Canada a les mêmes lois que le ministère de la magie d'Angleterre. Malgré cette différence, il n'est tout de même pas autorisé de se surexposé puisque le gouvernement espère que les moldus finissent par oublier la présence des sorciers parmi-eux. Évidemment, les trois sortilèges impardonnables sont interdis dans le pays.

Amérindiens: La majorité se retrouve dans les réserves, de petits villages construits par les blancs "pour les protéger", mais plus pour les assimiler à un mode de vie plus près du leur. Les derniers peuples en dehors des réserves sont composés exclusivement de sorciers et se cachent grâce à la magie. Ils utilisent une vieille forme de magie demandant l'utilisation des mains et non des baguettes, mais de plus en plus les jeunes s'assimilent à la magie des "blancs". Parmi ces peuples sorciers existent encore des iroquois qui cherchent encore un peu la guerre. Ils sont nomades, font la chasse, la pêche et la cueillette pour survivre. Le dernier peuple algonquin sorcier, lui, est sédentaire et survie de l'agriculture, des baies de la pêche. Le Lenni-Lenapes était un peuple proches des algonquins puisqu'ils étaient partenaires de trocs. Ils avaient les mêmes coutumes et ils vivaient aussi en étant sédentaires. Malheureusement, un soir il y a 35 ans, les iroquois débarquèrent et décimèrent tout le village. Seul un garçon survécut et fut élevé par une sorcière blanche.

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